Vieilles pierres, bonnes fessées
Encore un agréable souvenir d’un été 2018 décidément riche en sensations: une séance de fessée parmi les ruines d’une église du XIIème Siècle perdue dans la campagne picarde.
En fait une séance qui avait commencé l’été précédent, mais qui avait été contrariée par la présence insistante d’un voyeur. Impossible de semer cet abruti visqueux et ratatiné qui, après nous avoir repérés alors que nous visitions un site voisin et devinant probablement que nous n’étions pas des touristes tout à fait comme les autres, nous avait suivis à distance tout l’après-midi.
Mais il en fallait plus pour nous décourager. Un an plus tard, nous revoici pour la plus agréable des revanches: offrir aux yeux de tous les scènes que le voyeur cherchait à entrevoir mais que, sauf si un hasard extraordinaire veut qu’il soit l’un des lecteurs de ce site, il ne verra jamais!
Après la fessée mégalithique, voici donc la fessée gothique, administrée entre deux passages de promeneurs insouciants. J’ai hâte d’explorer de nouveaux sites remarquables de notre patrimoine architectural. Vivement l’été prochain!
De bien belles images comme d’habitude, et un beau pied de nez au voyeur qui n’en aura pas profité… mais nous si !
quelle délicieuses photos, particulierement celle où Alice frotte ses fesses sans doute cuisante après cette bonne fessée en plein air et aussi celle où elle est au coin exposant son derrière bien rouge. Mes félicitations au fesseur et au photographe.
De belles photos et de belles fesses qui invitent à ces petits jeux savoureux dont je suis moi aussi friand.
Je suis grand amateur de ces fesses bucoliques, de ces échappées vertes et roses, de ces week end « fessées » qui égaient nos couples.
Tout à fait en phase avec vous et votre « philosophie » de la fessée.
Très cordialement.
Merci! Et en effet, la campagne au printemps a encore plus de charme quand elle résonne de quelques claquements. 🙂