Qui suis-je ?

La fessée, chez moi, est bien plus qu’un fantasme. C’est une passion. Une obsession. Un virus. Une drogue. Un besoin vital, enraciné en moi depuis aussi longtemps que je me souvienne.

La fessée, chez moi, n’est pas un préliminaire au sexe. La fessée est le sexe. Elle se suffit à elle même. Elle est le nerf central de ma libido, et bien plus que cela encore: un instrument d’abandon, de régression, d’oubli de soi, de jouissance. Surtout lorsqu’elle est associée à une sensation de punition, de discipline.

J’aime donner la fessée. J’aime recevoir la fessée. J’aime être le témoin de la fessée. J’aime parler de la fessée, regarder des images de fessées, lire des histoires de fessées. J’aime penser à la fessée, en moyenne plusieurs fois par heure. Rien qu’entendre le mot “fessée” au hasard d’une conversation, ou le lire au détour d’un article, secoue mon échine d’un trouble frisson de plaisir.

Fessée, fessée, fessée…

Je l’ai reçue dans mon enfance, régulièrement, dans le cadre d’une éducation très conservatrice et d’une sévérité d’un autre temps. Sans doute est-ce la source de tout. Aujourd’hui encore, les souvenirs brumeux de ces fessées déculottées suffisent à me mettre dans un état second, comme si je touchais à la racine la plus profonde de ma sexualité. J’en parle plus en détail ici

Adolescent, j’ai pris conscience que je n’étais pas seul au monde le jour où, fouinant dans la bibliothèque chez un couple d’amis, j’ai déniché Les Petites filles modèles de Georges Lévis, une bande dessinée licencieuse adaptée du roman éponyme de la comtesse de Ségur. Je n’oublierai jamais le séisme qu’a déclenché en moi la vision de la ronde Madame Fishini fouettant les fesses nues de la jolie et turbulente Sophie…

Le côté désuet et irréel

de la fessée

J’ai commencé à pratiquer la fessée érotique à l’âge de 22 ans, avec ma première partenaire sérieuse. Mais, né au début des années 1970, il m’a fallu attendre la trentaine et la généralisation d’internet pour réaliser à quel point ce fantasme est courant.

En 2015, j’ai commencé à photographier la fessée. J’y ai trouvé ma dose d’adrénaline, et une partie du plaisir que je recherchais, après un interminable tunnel de frustration au sein d’une relation où la fessée n’avait pas sa place.

En photographie, j’ai une prédilection pour le noir et blanc, le flou de mouvement, le clair-obscur, et tous les procédés qui permettent d’illustrer le côté désuet, onirique et irréel de la fessée. Apprise sur le tas (je ne suis pas un photographe professionnel), ma technique reste à perfectionner.

Je suis un « switch » : j’aime à la fois donner et recevoir la fessée. Mon désir opère comme un mouvement de balancier : tantôt je ne rêve que de fesser copieusement un joli postérieur féminin, tantôt je brûle d’envie de recevoir moi-même une bonne correction.

Pour en savoir plus sur moi et sur ma vision de la fessée, lisez l’interview que j’ai donnée en août 2016 au blog Desculottées de la sympathique Tatiana, aka Lady Shagass. Ainsi que celui (en anglais) au blog de mon amie Sweet Tea en Californie, début 2022.

Et sinon, je suis un homme dans la cinquantaine, Français expatrié en Extrême-Orient.

Evidemment, nous parlons uniquement ici de fessées sensuelles et ludiques entre adultes aimant cela. Et absolument pas de châtiments corporels infligés aux enfants, de pratiques pédophiles ou de violences conjugales. Si votre cerveau fait encore la confusion entre tout ça, partez d’ici.

Ah, et sauf exception dûment signalée, toutes les images publiées sur ce site sont ma propriété et sont enregistrées comme telles. Ne les volez pas.

Mr Claquements